Modern Renaissance, Anastasia Beverly Hills

La palette qui est à l’honneur aujourd’hui fait partie de ma wishlist depuis pas loin d’un an ! Je souhaitais absolument la ramener de New York lors de mon voyage l’année dernière, je ne l’ai jamais trouvée : massive fail. Je pensais ensuite tomber dessus durant mon séjour parisien au printemps dernier, avec mon amoureux nous avons fait x Sephora, dans lesquels elle était toujours en rupture de stock. Pour finir, début Aout nous sommes allés passer une journée au centre commercial de la Part Dieu à Lyon, miracle elle était là. La vendeuse, qui a vu que je louchais sur cette palette, m’a même conseillé de l’acheter sans trop tarder parce qu’elle était rarement en stock et partait très vite. Ni une, ni deux, la Modern Renaissance d’Anastasia Beverly Hills était enfin mienne !

Aussi longtemps à l’attendre, avec toutes les bonnes choses que j’avais entendues à son sujet et vu le prix (49€) qui n’est pas donné, autant vous dire que je m’attendais à la perfection dans une palette. Commençons par ce packaging mauve en velours, à la fermeture magnétique, sur lequel le logo de la marque a été apposé en rose gold, ces deux couleurs sont très jolies et se marient bien, mais le velours reste salissant au possible. L’intérieur est noir vernis, il y a un miroir et, bonne surprise, un pinceau double embout aux poils denses, doux et de bonne qualité. Les fards sont au nombre de 14, le nuancier est un mix entre des teintes neutres et d’autres baies, côté fini on est sur du mat, du satiné et du métallique. Les nuances sont superbes, de plus les fards tirant sur le rouge changent vraiment de ce que j’ai l’habitude de porter et de ce que l’on a l’habitude de voir, cet esprit automnal me plait énormément et me donne envie de tenter de nouvelles choses. Il n’y a rien à redire concernant la pigmentation des fards de la palette, elle est excellente, ils se fondent facilement, mais il y a un gros bémol : leur texture se révèle extrêmement poudreuse. Il est nécessaire de venir tapoter le pinceau, et pas qu’un peu, avant d’appliquer la couleur, sinon les chutes en masse sont assurées. C’est un défaut dont on se rend compte en prélevant la couleur, le pinceau dépose du pigment un peu partout, la palette devient alors très vite « sale », lorsque je m’en sers, je passe mon temps à souffler dessus. Au final je suis un peu mitigée, j’aime les couleurs de cette palette, la facilité d’estompage des fards, leur intensité, mais ce côté poudreux me dérange, lorsque j’investis 50€ dans une palette je ne m’attends tout simplement pas à cela.

Modern Renaissance, 49€